Un monde retrouvé

Il se sentait impuissant

Devant sa vie martyrisé,

Par des parents acharnés.

Le ciel était son seul ami,

Les étoiles sa seul famille,

Il ne rêvait que de partir.

Retrouver celles qui lui plaisaient,

Celles qui l’aimaient

Celles qui le regardaient,

Avec un regard digne

De ce qu’il était.

Il était indésirable,

Il était lamentable,

Aux yeux de sa chaire.

Elle le persécutait

Et l’enfermait

Dans un caveau,

Où l’obscurité était son unique allié

Et la poussière son égal,

Face à l’adversité.

Il était rejeté de la société,

A cause de sa solitude inévitable,

De son autre monde

Celui du rêve,

Où son regroupé miracle

Et enchantement.

Celui-ci est un cosmos

Aux doux horizons,

Aux magnifiques vertus

Et où les hommes

Sont des corps célestes,

Aux parfum enchanté.

Qui suis-je ??

Je ne suis qu’un grain de sable dans le désert.

Je ne suis qu’une goutte d’eau dans l’océan.

Je ne suis qu’un écho dans les montagnes.

Je ne suis qu’une particule dans le néant.

Je ne suis qu’un mystère dans l’univers.

Je ne suis qu’une poussière sur cette terre.

Je ne suis qu’un regard posé sur notre société, où il est difficile de se faire accepter. Pour paraître bien à son regard malsain, il faut être dans l’uniformité, jamais l’extravagance, dans l’impudence, jamais la sérénité. Il faut toujours travailler sans penser, manger sans aimer, courir sans faiblir. Ma vie est un film que l’on recommence chaque jour de mon existence. Elle est monotone et platonique. Pour changer cela, j’analyse chaque chose qui m’entoure. J’observe, je décris et en garde un souvenir. Cette solution, c’est un ami qui me l’a soufflé sur une douce brise de ses mots fastueux.

Faîte- pareille, vous rentrerez dans un nouveau monde, celui du rêve.

Petit démon

Mes chimères

Mon esprit s’évade sur des chemins agréables. Il parcourt un sentier, imbibé d’un parfum qui me fait sourire. Il sent le tint et la lavande, mon enfance revient en une pense imprécise où tout me terrorise. Sur ces bas côtés, j’aperçois quelques près verdoyants avec de gigantesques arbres, s’élevant aux milieux de ceux-ci imposant leur opacité à quelques fleurs qui se prosternent. Le soleil déverse sa lumière sur ce paysage enfantin. Mon imagination s’éclipse sur un panorama majestueux. De somptueux sommets recouverts d’une blancheur extasiante, percent de la mousse blanche incorporé d’eau. Le soleil s’imposant sur les flancs des monts, s’incline devant ce coton blanc. Ma conscience s’adonne maintenant à un décor qui me fait tant rêver. Celui-ci est sillonné par des dunes, emplies de minuscules petits grains jaunes dorés. Les oasis sont transcendés par de prodigieuses fleurs, qui s’acclimatent au Dieu soleil avec pour source qu’une petite parcelle d’eau. Elles vivent par milliers sans aucunes rivalités à maîtriser. Il y a longtemps, leur conflit était dû à l’homme, qui construisaient des somptuosités tel que les pyramides. Ils avaient envahit ce monde mystérieux en le respectant, mais très vite cet endroit fut pollué, alors l’homme s’en est éloigné, cause de cela et de son climat. Maintenant, ce lieu a retrouvé son éternelle, éclatante beauté et sa tranquillité, qui me fera toujours tant rêver.

Petit démon

Par une vie émouvante

J’ai été pendant longtemps,

Spectatrice d’un film larmoyant.

Je n’ai su dire mot,

Au paroles agressantes et répugnantes,

Qui sortaient de la bouche,

De ceux que j’aimaient.

Ils le persécutaient,

Par ses mots poignant,

Ils l’enfonçaient,

Et l’ignoraient.

Il vivait un cauchemar,

Sa vie était enfouie dans le noir.

D’une famille déchue et sans pitié,

Qui ne le remarquait à peine,

Il était entouré.

Il ne voulait plus pleurer,

Il ne voulait plus sourire,

Il voulait juste vivre en paix.

Retrouver un fond intérieur,

Apaisant

Et suffisamment ouvert,

Pour qu’il se sente en sécurité,

Dans cette médiocrité.

Une vie secrète

Depuis longtemps l’Egypte m’attire. Elle fait de moi un pantin devant ses divines beautés. Elle est parcourue par des mystérieuses pyramides et de précieux objets toujours cachés dans son fort intérieur. Je la fais vivre dans mes rêves, où elle a trouvé le remède contre l’installation des hommes, celui-ci est la tempête. C’est un trésor envoyer par le ciel, pour que le sable règne maître avec ces somptueuses fleurs élevées sur des cactus. Le soleil rouge or resplendi sur ses pyramides et ses sphinx. Réconforter par sa somptuositée , je considère mon alentour, celui-ci est un tout autre monde. Fait de méchanceté, de pitié, de stresse et d’uniformité. Ce monde est bien loin, c’est une toute autre vie, qui fait de moi ce que je suis. Je vis là bas, où je suis un cabot, où la platitude est signe de santé et joie signe de faiblesse. Ce monde est sans pitié, il me poursuit, me tracte, me cerne. Personne ne mérite une telle vie, mais c’est pour temps ce que l’on subi, abasourdi par la radio, abruti par la télévision, sidéré par la publicité et abaissé par tous cela à des choses qui non aucune utilités. Beaucoup de personne tombe dans la religion, où leurs qualités son privilégiées et leurs défauts transformés en péchés sont des l’instant même évincés. Dans le passé, la religion fut cause de bien des guerres, pourtant, se rejoignant toutes sous les mêmes dieux mais aux noms variés. Pour moi les religions sont prétextes de bien trop de choses, je pense que l’homme s’est inventé dans le passé, un être puissant, supérieur et protecteur pour être mieux dans sa peau et pouvoir pardonner toutes ses fautes. Je comprends que quelques personnes en aient besoin, pour se sentir alaise dans notre monde, mais je pense que parfois bien des gens en abusent.  Je rêve d’un monde meilleur, d’un monde sans pleur où toutes les mœurs seront apaisées et où les guerres seront pacifiées mais ce monde là n’existe pas.

Petit démon

Envie…

Je veux me réveiller

Et partir sur une autre destinée.

Recommencer,

Un passer déjà tracé.

Je veux vivre,

Des aventures qui m’enivrent;

Je veux être séduit

Et ne plus avoir d’ennuie.

Je veux manger

Tous les péchés,

Que j’ai pu plantés

Dans un futur passé.

Je veux dormir

Au temps que je peux mourir.

Mais je ne veux pas souffrir,

Juste adoucir

Les meures que j’ai créé

Et en est été culpabilisée.

Je veux donner

A un homme créé,

Mon cœur caché,

Mon corps troublé.

Je veux donner l’amour

Qui s’ouvre

D’un mon tit’coeur

Qui a peur,

De trouvé le bonheur.

Petit démon